Mais l'art est difficile

François-Guy Vinaigrier

Comme une douce façon d'escroquer la vie à pleines dents

 

IL Y A CE QUI BOUGE*

  • Politiquement très incorrect. L'auteur sait nous embarquer dans son délire. Écriture très directe, très rythmée, mais surtout finement ciselée. Un petit bijou. J.-Ph Quinery - La Renaissance Lochoise
  • Époustouflant ! Quand on met le nez dedans, pas facile d'en sortir. Belle écriture. Gilbert B.
  • Lecture étrange, rafraîchissante et loufoque. Ambre
  • Dans une écriture directe, au vocabulaire fleuri à la San Antonio, Pierre Holop fait vivre son personnage tambour battant, dans des aventures délirantes. Une sorte de conte moderne surprenant. Yvan Roulé – La Nouvelle République
  • Des histoires douces amères, pleines d'humour et de vitriol. Émilie TARDIF – TV Tours
  • Bien écrit. Belle présentation. C'est prenant. Belle construction. On est accroché dès le début. La tension s'installe par paliers. Beaucoup de psychologie. Décrit les rouages du pouvoir de I'homme sur I'homme. Nous avons affaire à un écrivain de qualité. Par moments âmes sensibles s'abstenir. Éditions Chloé des Lys Belgique
  • Une fabuleuse histoire qui défie la loi du plus fort. Un vrai bonheur d'écriture. Nuit blanche garantie. J'ai adoré le style. Nathalie T.
  • Au début, difficile de se faire au style trash. Mais rapidement, on en est en manque, et on en redemande. Ce roman va vite, et monte crescendo. Gigliola D.
  • Impossible à lâcher. Plein d'humour et d'esprit. Christine G.
  • Dès la première page je me suis fait happer par ce personnage très attachant. J'ai beaucoup aimé l'écriture. C'est cru, direct, mais en même temps, il y a des passages où l'on respire. L'histoire est passionnante et pleine de rebondissements. On se demande comment ça va finir. J'ai adoré ! Corinne G.
  • Un style proche d'un Houellebecq qui aurait prit une ligne de coke avec Sade, Sollers et Beigbeder dans un bar en face de la fac d'Assas… Un humour aigre, Nothombo-Desprogien, une gaité abandonnée pour l'envie, une lumière qui a du mal à sortir car dépassée par une explosion de noirceur interne... On sent le vécu... J'aime l'exposition brutale d'une sexualité gluante, la maitrise de certains cotés obscurs de l'être humain... l'argent, le pouvoir, la sexualité... les dialogues forts entre François et sa proie obèse et riche. François M.
  • Rapidement le premier chapitre est dévoré, tout de suite le décor est planté, l'ambiance est malsaine (dans un style proche "D'existe en blanc" de Bertrand Blier) mais l'histoire est addictive et les pages défilent à un rythme soutenu. J'ai jubilé des tribulations d'un super salopard qui ne manque pas de ressource pour tirer la couverture vers lui... Accrochez-vous, ce récit risque de vous secouer... Yvan R.
  • Un super rythme, un attachement immédiat à FGV, pour toute l’humanité qu’il dégage malgré ses machiavélismes, cette touche de sublime amour émeut profondément et donne ce ton. J'ai beaucoup aimé ! Béatrice J.

  • J'ai adoré. L'auteur a une capacité à mettre le lecteur dans l'ambiance en quelques mots. Guillaume M.

 

IL Y A CE QUI BOUGE ENCORE*

  • Un début choc mais qui accroche vraiment bien le lecteur, une imagination débordante, une belle écriture. Lydie S.
  • Un langage cru et mordant. Dès les premières lignes, le ton est donné. Éléonore Vanel - La Nouvelle République
  • Et puis je me suis demandé, mais comment va t-il se sortir de là ? Et alors, j'avoue que la fin ne m'a pas déçu. Alain C.
  • Vous écrivez bien, vous savez raconter une histoire. Je lis beaucoup de livres et je vois passer des ouvrages moins bons que le vôtre. David G. Responsable littérature Cultura Chambray-lès-Tours
  • Surprenant, déroutant, néanmoins intéressant. Caroline C.
  • Très bon livre, j'ai beaucoup aimé. De bons ingrédients pour accrocher le lecteur jusqu'à la fin. Du suspens en apothéose. Éric G.

  • Singulier. Jean-Pierre G.

  • Je vous conseille sa lecture. Nous avons beaucoup aimé. Patricia L.

  • J'ai pleuré sur Nadège. Bien écrit. Manon D.

  • J'ai su qu'il me plairait dès la 4ème de couverture. Michel M.

  • C'est super, mais c'est dommage que l'auteur soit mon gendre ! Jeannine A
  • J'ai aimé le passage du il au je qui passe sans s'en apercevoir. Je n'ai pas souvenir d'avoir vu cela dans d'autres romans. Aurélie T.

IL Y A CE QUI NE BOUGE PLUS*

  • J'ai été gênée par le fait de connaître l'auteur. La fin aurait mérité d'être plus étoffée. Fred. O.
  • Vulgaire et pompeux. On se perd dans les personnages. Marie-Jeanne O.
  • Récit capilotracté. François M.

(*) Emprunté à Ronald Reagan, citation sur l'économie administrée